La FIGEC a toujours privilégié le « name and fame » plutôt que la politique du bâton. Certes, il est nécessaire de pointer du doigt les « mauvais élèves » de la classe mais plus encore, il nous apparaît plus productif de valoriser le travail des milliers de chefs d’entreprise qui se battent au quotidien pour produire de la richesse et créer des emplois.