Les sociétés de la FIGEC spécialisées en information d’entreprise, de solvabilité et de prévention de défaillance ne seraient, bien naturellement, pas concernées par le projet de loi de lutte contre la manipulation de l’information – fake news – selon la Députée, extrêmement mobilisée sur le sujet, Constance Le Grip.
Charles Battista, Président de la FIGEC et Sébastien Bouchindhomme, Délégué Général, ont rencontré, le 8 juin dernier, Constance Le Grip, Députée, Vice-présidente de la Commission des affaires culturelles et de l’éducation et Membre de la Commission des affaires européennes, Vice-Présidente du groupe d’études sur l’Économie numérique de la donnée, de la connaissance et de l’intelligence artificielle, Oratrice sur le projet de loi « fake news » et, last but not least, contributrice sur le règlement RGPD, pour lui présenter les trois métiers de la FIGEC, indispensables à l’activité économique de notre pays et pour « démystifier » la gestion du risque client.
C’est dans cet esprit très constructif que les deux dirigeants de la FIGEC ont présenté leurs propositions basées sur 3 mesures phares pour la croissance de l’économie française :
1 – Favoriser la transparence de la vie économique : open data & réutilisation des données de publicité légale, accès simplifié à certaines sources d’information
2 – Simplifier la vie des entreprises : 12 mesures de simplification et de dématérialisation, améliorer le recouvrement des créances publiques
3 – Fluidifier l’économie : faciliter la gestion des impayés, notamment des petites créances, développer l’injonction de payer dématérialisée.
Les mesures développées dans le document remis à Mme la Députée sont de nature législative, réglementaire ou non-normative.
Constance Le Grip a été très sensible au recouvrement des créances publiques et à la transparence financière des affaires personnelles. Quant au projet de loi de lutte contre la manipulation de l’information (fake news), la Députée a confirmé que bien naturellement les sociétés spécialisées en information d’entreprise, de solvabilité et de prévention de défaillance, n’étaient pas concernées !
A surveiller…